Danse

Antoinette Gomis

De Wayne McGregor à Georges Michael, une carrière aux 4 coins du monde

Danseuse, chorégraphe, actrice, modèle, Antoinette Gomis est une des références de la scène street dance française. Artiste complète, elle a su au fil du temps s’approprier toutes les esthétiques de la danse pour se forger un style mêlant Locking, House, Hip-hop freestyle, ou encore Waacking.

Son parcours est jalonné de victoires dans des battles renommés à l’international. Elle gagne en 2009 au Juste Debout en République Tchèque, puis enchaîne les triomphes : Funkin Stylerz à Düsseldorf, Soul Session en Norvège en 2010, le Battle Nike Bring your troup et Waacking International en Corée…

Antoinette Gomis intègre l’équipe PUMA The Quest en 2013 et devient le visage streetwear de la marque pendant 2 ans. Elle collabore également avec Garnier Greenlab, dont elle est l’égérie aux Etats-Unis, et prête son image à de nombreuses marques, dont LVMH, Devialet, Nike, ou Adidas.

Habituée à collaborer avec les plus grands, la danseuse intègre la troupe du chorégraphe de danse contemporaine Wayne McGregor pour la comédie musicale Kirikou en 2007 et part en tournée nationale pendant 3 ans. De Madonna à Georges Michael, en passant par Martin Solveig, Maitre Gims, Kery James, ou Tiken Jah Fakoly, elle prête ses talents de chorégraphe et de danseuse à nombre d’artistes prestigieux. Antoinette fait par ailleurs plusieurs passages remarqués à la télévision, notamment en Italie pour la célèbre émission Chiambretti Sunday Night Show, emmenée par le chorégraphe Bill Goodson (Michael Jackson, Paula Abdul, Diana Ross…).

Entre créations chorégraphiques et investissement auprès des jeunes publics

Après son premier solo Bleue, co-écrit avec Ousmane Sy, elle se lance dans l’écriture d’une deuxième pièce à partir de 2016 : Images. Pour ce premier spectacle porté par sa compagnie nouvellement créée, elle raconte le parcours d’une femme noire qui cherche à s’accepter face à l’hostilité de la société, à travers l’œuvre de Nina Simone. Encouragée et félicitée par le New York Times lors de sa représentation à l’Apollo Theater, le spectacle dép